mardi 26 juin 2012

Les restaurants asiatiques s'engagent à ne servir que du chien bio

Alain Terrieur
La Lune de la presse internationale


LA ROCHELLE, FRANCE

Les traiteurs de viande asiatique en France métropolitaine ont déclaré lundi qu'ils s'engageaient à acheter et servir du chien "100% biologique," d'après les déclarations du représentant de l'association auprès de La Rochelle Times. La décision vient après les plaintes de certains clients quant à la mauvaise qualité de viande canine servie dans des établissements, a-t-il dit.

A partir du 1er juillet 2012, "la viande de chien vendue en France sera bio," selon le Bureau européen de l'union des restaurants de qualité (BEURQ). "Nous applaudissons cette décision, peu importe si les critères de l'alimentation biologique à l'étranger sont difficiles à discerner, voire non-existants. Le choix est symbolique et important, car il faut savoir quand vous mangez du chien, il a été nourri uniquement avec des aliments agréés en Chine."

Certaines associations de consommateurs ont annoncé que la décision ne changeait pas le fait que les restaurants servaient "quand même du chien."

"En France, le chien n'est pas considéré comme une viande de luxe, que je sache," explique Marie Poste, une responsable d'une association de consommateurs. Elle effectue des contrôles de différentes viandes vendues dans le milieu de la restauration.

"Que je sache, il vaut mieux ne manger que très peu de viande, voire pas du tout. Ça coûte cher en énergie et en argent, c'est sur-dosé d'hormones, c'est mauvais pour la santé et ça peut même déclencher des troubles comportementaux."

Elle préconise d'éviter les restaurants asiatiques qui servent du chien, que cela soit bio ou non.

Les représentants des restaurants chinois ont menacé la France avec "des représailles culinaires massives" si les Français n'appréciaient pas davantage leur cuisine.

mardi 19 juin 2012

Une gigantesque fabrique de fausse monnaie démantelée à Francfort

Alex Terrieur
La Lune de la presse internationale

FRANCFORT, ALLEMAGNE

Des autorités judiciaires allemandes ont surpris des malfaiteurs menant une vaste opération de contrefaçon monétaire ; informations obtenues mercredi par le La Rochelle Times. La fausse monnaie est utilisée actuellement pour des échanges à travers le monde, mais principalement dans une quinzaine de pays européens, où les escrocs auraient fait coulé des centaines de millions de billets colorés pour s'octroyer le contrôle des marchandises et de la main d’œuvre.

A la suite d'une longue enquête sur la monnaie et son influence sur la population, les autorités se sont rendues compte que le fabricant de billets et de monnaie à Francfort en faisait mauvais usage en donnant une valeur fictive à des morceaux de papier. Le fabricant se serait servi de chiffres entre 5 et 500, ainsi que des images de portes et de ponts, afin de donner un air légitime à leur fausse monnaie, les sources ont indiqué.

Les arrestations viennent quelques jours après la découverte d'une fabrique de faux-billets en France.

"Ce qui frappe dans ce dossier, c'est l'envergure de l'opération," explique Nima Parrole, un représentant du service des Travaux et Recherches Universitaires sur les Tendances Humaines (TRUTH).

"Depuis presque une dizaine d'années, et avec des indices préliminaires remontant jusqu'à 1971, cette fabrique de fausse monnaie aurait exploité des dizaines de millions de personnes afin de contourner l'illégitimité flagrante de leur papier. C'est presque trop gros pour y croire."

Les enquêteurs ont découvert qu'à cause de la fabrique de fausse monnaie, qui a introduit dans l'économie européenne de vastes quantités de monnaie-papier, des gens autrement normaux se sont livrés à des actes complètement fous et idiots, allant jusqu'à la répression d'autrui, la délation, la violence ou même l'esclavage volontaire.

"Nous avons trouvé, avant de procéder à la fermeture de cette grosse fabrique, que les gens se seraient rendus eux-mêmes des esclaves de leur travail, afin d'obtenir ces petits bouts de papier colorés," continue Parrole. "Il est surprenant car ce fabriquant de fausse monnaie ne faisait rien d'autre que de mettre de l'encre et des chiffres sur du coton découpé en carrés, mais les gens en deviennent complètement dingues. Il ne se rendent même pas compte de la vraie valeur des choses, ni de l'usage historique de l'or, de l'argent, des ressources énergétiques ou des marchandises pour établir une économie saine et respectueuse de l'humanité."

Depuis une autre source, la situation est bien pire.

"Il s'avère que maintenant ils n'ont même plus besoin d'imprimer la fausse monnaie," ajoute Jean Tube, un enquêteur pour la Brigade Anti-fraude financière-économique (BAFFE). "Apparemment ils émettent maintenant des bouts de plastique auxquels ils rajoutent numériquement des chiffres encodés, parait-il quasi-aléatoires, et que ceux-ci servent comme une sorte de valeur quelconque. De plus, ceci aurait quasiment le même effet sur le comportement des gens, c'est-à-dire que, pour des chiffres virtuels attachés à un morceau de plastique, ils sont prêts à se taper dessus, à se détruire la sante et même y sacrifier la vie."

Les autorités ont procédé mercredi à l'arrestation des faux-monnayeurs. Ceux-ci ont été mis en examen et écroués à Francfort dans la matinée. Selon une source proche du La Rochelle Times, ils risqueraient entre deux et quatre jours de prison.

Les avocats de la défense ont mis en avant le fait que leurs clients, toujours présumés innocents, ont créé une telle dépendance parmi les populations occidentales que leur incarcération sera nocive au bon fonctionnement de la société, au moins dans l'immédiat.

"Nos clients, qui ne veulent que du bien pour la grande société, estiment que l'arrêt brusque de la fabrication de fausse monnaie sera dangereux pour la population," éclaircit Franc Aure, avocat d'un malfaiteur arrêté pour usage de faux.

Étant donné la quantité de fausse monnaie en circulation, Aure estime qu'elle doit être retirée au fur et à mesure afin d'assurer un autre système "plus ou moins stable" mais aussi "toujours dans l'intérêt de ses clients."

"De toute manière, ça ne sert à rien de les mettre sous écrous, ces pauvres messieurs. Ils sont aussi les victimes du système, même s'ils peuvent créer toute la monnaie qu'ils veulent. Ce n'est pas une raison de leur enlever ce droit," Aure a plaidé.

Le procureur de Francfort a pris le contrepied, mettant en avant la culpabilité des fraudeurs au sein d'un système frauduleux.

"La prison est la solution à tout. Ce n'est bien évidemment pas aux gens de réfléchir là-dessus, comment pourraient-ils faire autrement dans la société que nous avons créée ? Peu importe les conséquences, nous avons trouvé la source du problème de la fausse monnaie. Maintenant si les gens veulent continuer à se taper dessus pour avoir plus de matériel que le voisin, c'est à eux de voir. Mais il faut se taper dessus gentillement, sinon c'est la case prison."

jeudi 14 juin 2012

Justice : Les trente-huit complices de Merah insistent qu'il a agi seul

Alain Terrieur
La Lune de la presse internationale


TOULOUSE, FRANCE

Mohammed Merah, le présumé coupable de la tuerie de Toulouse et de l'assassinat de trois militaires, aurait agi seul selon ses trente-huit complices au Service de renseignement français. Le jeune, désabusé d'une famille d'immigrés et fils d'un père alcoolique vendeur de cannabis, a "mal tourné," selon des sources proches du La Rochelle Times.

Le père algérien a porté plainte contre X pour meurtre mardi, prétendant qu'il a le droit de savoir pourquoi son fils a été tué au lieu d'être capturé par les forces de l'ordre. Il aurait prétendu aussi vouloir des preuves avant d'affirmer l'implication de son fils dans les assassinats.

Dans un premier temps les services de police et de renseignement ont mis en place le secret défense afin de bloquer les informations. Depuis, les deux chefs de renseignement français ont refusé de témoigner devant les Sénateurs, une circonstance rarissime. Hier, enfin, les magistrats instructeurs ont demandé de lever le secret du dossier, permettant aux trente-huit complices de se présenter pour affirmer que Merah a agi seul.

"Nous, on n'y était pour rien," explique Hassa Guise, ami proche de Merah qui travaille depuis quinze ans dans les services secrets. "Il est vrai que nous avons financé ses voyages en Irak et au Pakistan. Grâce à nous il a pu bénéficier d'une formation gratuite au Pôle emploi dans son quartier sensible qui fait des échanges culturels avec l'Afghanistan. Mais c'est bien connu tout ça, on n'a pas poussé à agir."

Certains "complotistes" notoires ont soulevé le fait que ça arrangeait bien tout le corps politique et sécuritaire, au moment de la campagne électorale, de trouver un bouc-émissaire et ainsi de "liquider" Mohammed Merah au lieu de prétendre à un procès où d'autres informations auraient pu être divulguées.

Ils ont par ailleurs mis en avant l'arrivée du président Sarkozy à l'école juive dans un délai de deux heures après les meurtres, alors qu'il faut énormément de travail pour planifier le déplacement a priori imprévu d'un Président de la République, pour l'amener en avion, puis en voiture présidentielle, à une distance de 800 kilomètres.

Il y a également la contradiction de recevoir un Président sur un lieu où il y a eu des tirs réels le matin même, alors que l'auteur n'avait pas encore été arrêté.

"Que des suppositions infondées," déclare Larbi Trère, un agent dans les services secrets qui a fourni des armes et donné 100.000€ en liquide à Merah. "De croire que ce gars n'aurait pas agi à cause de son délire fondamentaliste, c'est ne plus croire à la démocratie.

"Nous on n'y était pour rien, c'est de sa faute. Il n'avait qu'à bien se comporter."

Les trente-huit complices ont demandé au public d'arrêter de mettre en avant des hypothèses de complot. Il ont supplié la population d'attiser les différences religieuses et culturelles afin de semer des sentiments de haine et de rancœur, "pour ne plus avoir à faire à des situations comme celle-ci."

"Si la population arrive à se diviser toute seule, nous n'aurons plus à nous impliquer dans des cas comme celui de Merah," explique Guise.

Les complices de Merah souhaitent que la justice arrête de faire son travail rapidement pour qu'ils puissent prendre tranquillement leur retraite aux Antilles, comme leur contrat a stipulé lorsqu'ils lui auraient fourni les armes, l'argent et les voyages.

mercredi 13 juin 2012

A la place des indemnités les chômeurs recevront désormais des amis Facebook

Agathe Sement
La Lune de la presse internationale

PARIS, FRANCE

En raison du déficit budgétaire le Pôle emploi a annoncé mercredi qu'il serait obligé de payer les indemnités de chômage uniquement en rajoutant des amis aux comptes Facebook des demandeurs d'emploi. Des sources proches du La Rochelle Times ont fait part de l'information, en expliquant que les chômeurs bénéficieront d'une indemnité de trois amis par semaine pour une période maximale de 102 semaines.

Les profils des législateurs, des élus locaux, des maires et d'autres fonctionnaires d'état seront sollicités pour se rajouter aux comptes Facebook des chômeurs, et les amis rajoutés s'engageront à rester amis même en cas de commentaires abusifs, d'insultes, de photos insolites ou d'autres injures tant que le demandeur d'emploi n'a pas été radié au Pôle emploi.

Les autorités espèrent que cette possibilité sera "cathartique" pour les demandeurs, pour qu'ils puissent se sentir libres de s'exprimer numériquement au lieu d'aller se plaindre auprès des agences du Pôle emploi.

"C'est le prix effectivement si nous voulons payer avec notre amitié sur Facebook," explique Dolly Prâne, directrice de l'agence de Magouille-sur-Seine.

"Nous allons bientôt offrir des follows sur Twitter et si tout va bien on payera aussi des droits avec une cotation en bourse des actions Facebook si la bourse existe toujours à la fin de l'année."

lundi 11 juin 2012

Opinion : Jésus Christ était maître enseignant ; crucifions donc les maîtres enseignants !

Un éditorial du Pasteur Alain D. Niable


En tant que fondamentaliste chrétien, je connais plutôt bien la vie de Jésus Christ. Je sais qu'il était le fils de Dieu, un prophète illustre, un guide spirituel, un sage, un gourou et aussi un maître enseignant. Je sais qu'il a été crucifié. Donc de façon très logique nous devrions continuer à crucifier nos maîtres enseignants si nous voulons s'adhérer à la volonté de Dieu. Depuis deux mille ans tout se passe plutôt bien comme prévu, et à long terme ils vont tous finir par mourir de toute façon.

Vous voyez, nous n'avons pas vraiment besoin d'enseignants, proprement dit. Nous avons besoin de formateurs. Nous avons besoin de personnes tenaces et rigoureuses qui donnent des ordres et disent aux gens ce qu'il faut penser, et non pas comment réfléchir. Jésus, en tant que représentation allégorique de l'homme, a apporté de la sagesse à l'humanité afin de pouvoir entamer l'introspection sur ses propres actes.

A mon avis, les vrais enseignants d'aujourd'hui se la vantent trop. S'ils essaient de donner aux autres de vraies méthodes pour les amener sur le pas de la réflexion et de l'épanouissement, il faut vraiment que l'on les clouent directement à la croix. Comme dit le vieux proverbe, on ne peut pas faire boire à un âne qui n'a pas soif. Mais tout au moins on peut attacher au crucifix le gars qui lui a donné l'eau.

En tant que société nous devrions vénérer le sacrifice qu'a fait Jésus en permettant aux professeurs enseignants d'en faire le même. Je propose que l'on commence à faire le tri, en séparant les formateurs des maîtres enseignants, en crucifiant tous ceux qui ont fait preuve de leur sagesse, et en gardant les autres. Comme ça Dieu bénira la terre et tout sera selon Ses vœux.